Version 4 — Juin 2010 — JLuc
La zone c’est pas un site pour promeneurs, c’est un site pour programmeurs ! Alors une chose est claire : ça pourrait être plus facile de s’y retrouver.
Cette page vise à collecter les repères et jalons... et même, parfois, des idées pour faciliter les choses par des modifications in situ, même si il semble que le paramétrage de trac soit particulièrement ardue.
Il y a plusieurs sortes de zones SVN, et quand on fait une recherche avec google, c’est pas toujours évident de savoir où est-ce qu’on atterrit, car les zones se ressemblent toutes, avec l’interface insipide de trac.
- Certaines zones SVN sont pour le core de SPIP, d’autres sont pour les plugins et autres outils ou sites de la galaxie.
Par exemple :
http://zone.spip.org/trac/spip-zone...
c’est la zone, tandis que
http://trac.rezo.net/trac/spip/browser
c’est le core.
De plus, à certains moments de l’histoire de SPIP, les adresses et serveurs changent, mais les anciennes versions restent : attention à être bien dans une zone « active ». C’est un peu une devinette, mais les dates de changement des derniers commits permettent de savoir si c’est une zone vivante ou une vieille chaussette qui trainent. A l’heure actuelle, il n’est pas exclu que seules des zones actives soient en ligne, mais je n’y mettrais pas ma souris au feu.
- Ensuite, dans le noyau de SPIP, il y a plusieurs branches de développement correspondant à différentes versions. La page http://trac.rezo.net/trac/spip/browser donne ainsi accès à
- « spip » (actuellement la version 2.2, soit la plus récente)
- « branches » (les versions anciennes, encore maintenues, de 1.8 à 2.1)
Donc là encore, attention : quand on tombe par google sur http://trac.rezo.net/trac/spip/brow..., il ne s’agit pas d’un fichier actuel, mais de la version actuelle d’une version de SPIP qui ne sortira que dans plusieurs mois, ou peut être pas...
<blockquote class="spip">Suggestions pour améliorer ça
Actuellement, il n’y a pas de repère visuels, il faut lire et décrypter l’adresse pour savoir à quelle sorte de zone SVN appartient la page affichée. Ce point gagnerait à être amélioré.
Il serait utile de manifester de manière immédiate et non ambigüe la nature de la zone SVN de la page affichée. Par exemple par un surtitre ou un graphisme ou un logo ou un bandeau haut ou bas ou gauche ou droite.
Pour info, la page http://trac.edgewall.org/wiki/TracI... indique comment changer le look en modifiant les templates Genshi (templating engine écrit en python) .
Il y a quelques docs dont la lecture sera utile voire nécessaire comme préalables :
- http://zone.spip.org/trac/spip-zone/wiki/CommentUtiliserSvn
- http://zone.spip.org/trac/spip-zone/wiki/CharteDeFonctionnement
On a référencé plus haut les adresses des zones SVN par leur adresse http. On peut ainsi leur rendre visite avec un simple browser. Mais pour travailler avec, pour bénéficier du SVN, il faut un compte avec un code d’accés à la zone, un client SVN et utiliser les adresses SVN.
- Pour ouvrir un compte il faut s’inscrire à la liste de discussion associée à la zone, et demander à bénéficier d’un accés. Il faut avoir préallablement lu la charte
de développement évoquée ci dessus, et compris l’esprit dans lequel est développé SPIP et proposé la zone. C’est Gilles qui délivre généralement les comptes et mots de passes associés.
- Les clients svn sont divers mais sous MSWindows, il y en a surtout un : tortoisesvn, à télécharger et installer sur sa machine. ça intègre de nouvelles options au menu contextuel de l’explorateur (sur clic droitr dans un dossier)
- Les adresses svn se déduisent des adresses http en remplaçant http:// par svn ://
(sauf exception ? à confirmer)
Tout commit sur la zone se traduit par l’envoi de mails de notifications automatiques, reçus par tous les développeurs et utilisateurs intéressés, ce qui leur permet suivre le développement de SPIP et des plugins.
voir. Cette liste bénéficie d’une interface newsgroup sur gmane
Pour tester SVN il y a un répertoire bac à sable : svn ://zone.spip.org/test
C’est là qu’il faut tester SVN car c’est un « repository » à part, pour lequel il n’y a pas génération de notification mail (tant qu’à faire, autant ne pas polluer les listes avec des tests).
Il y a aussi des VDOs pédagogiques que Gille est en train de documenter :
- Création d’un nouveau projet, ajout au dépôt
- Ajout, modification, et suppression de fichiers/répertoires sous SVN
- Mise à jour de sa version de travail, fusion de modifications concurrentes
- Conventions standards trunk / tags / branches
L’interface tortoisesvn est agréable et assez intuitive, du moins en ce qui concerne les fonctions de base. Elle propose notamment une navigation à travers les dossiers du repository sur svn maître ou local , avec de riches menus contextuels qui permettent permet de choisir facilement ce qu’on veut, pourvu qu’on est l’adresse svn :// de départ . ça va d’autant mieux qu’on connait le vocabulaire svn, bien spécifique, et c’est là que c’est pas intuitif au départ .
Voici donc quelques repères, à confirmer et préciser encore :
- la commande « checkout » permet de récupérer localement un répertoire de la zone
C’est par là qu’on commencera sans risque.
- la commande « checkout » permet de récupérer localement un répertoire de la zone - la commande « import » ressemble beaucoup à checkout. A vérifier donc ces 2 points.
- la commande « commit » : permet d’envoyer sur la zone les modifications faites sur les versions locales des fichiers.
- la commande « up » permet de faire une mise à jour de la version perso des documents, à partir de la version « maître »". Si on travaille en local avec le serveur de la zone, « up » ça veut dire télécharger depuis le site de la zone les nouveaux fichiers et les fichiers ayant été modifiés. C’est donc éventuellement trompeur au début.
- la commande « export » permet de recopier ailleurs le contenu d’un répertoire svn local , mais sans les informations techniques de SVN
Difficulté :
- les conflits de modification d’un même fichier