Pense-bêtes

Installation

Le plugin a été soumis sur la Zone. Le plugin s’installe comme n’importe quel plugin SPIP.

Le plugin n’a pas de panneau de configuration jusqu’à la version 1.0.3 et même à ce moment du versionnage, cette configuration n’est pas obligatoire. Néanmoins, il vous sera nécessaire de configurer le plugin pour pouvoir associer les pense-bêtes à d’autres objects éditoriaux que les articles. Par ailleurs la configuration permet une gestion fine des feuilles de style nécessaires à l’apparence des pense-bêtes, tant dans l’espace public que l’espace privé.

Utilisation

Une fois connectée dans la partie privée, vous créez un pense-bête (qui est un objet éditorial comme un autre, bien que simplissime) qui ira se coller sur le mur de l’auteur de votre choix (où plus précisément sur sa page d’accueil qui lui souhaitera la bienvenue lorsqu’il se connectera).

Pour créer un pense-bête, vous avez deux choix :

• aller dans le menu Edition|Pense-bêtes
  puis créez un pense-bête.

  

• aller dans le menu rapide :

  

Au delà de ces deux icônes dans le ruban du menu rapide, le plugin [1] vous propose une troisième icône parmi les outils collaboratifs (à côté de l’agenda ou de la messagerie). L’icône à l’apparence d’un mur.

Cliquez sur cette icône vous permet de voir les pense-bêtes sur votre mur (si vous avez oublié d’en prendre connaissance lors de l’affichage de la page d’accueil) mais aussi de voir les Pense-bêtes encore actifs que vous avez placé sur les murs des autres. Vous pouvez retirer les Pense-bêtes en cliquant sur la petite croix rouge sur l’angle supérieur gauche.
Les pense-bêtes liés à un objet éditorial s’afficheront avec une icone de ces objets agrafées aux pense-bêtes. Cliquer sur cette icône vous permet d’aller directement visualiser le contenu de cet objet éditorial.

Un pense-bête [2] peut être lié à un objet éditorial éditable. Par défaut ce sera un article, mais la configuration vous permet de définir les objets que vous souhaitez. L’objectif est de permettre d’attirer l’attention d’un auteur lors de la visualisation de l’objet éditorial (pour solliciter une correction, un avis, une évaluation...). Le Pense-bête peut être créé à partir de l’objet éditorial et lié à celui-ci [3].

Il est possible, dans la configuration, de limiter l’échange de pense-bêtes à une certaine catégorie d’auteurs (statut), de permettre qu’il soit envoyé à plusieurs auteurs ou à une liste d’auteurs [4]. L’autorisation par défaut limite l’utilisation des listes aux administrateurs. En surchargeant l’autorisation, la limitation peut être levée.

Restrictions

Votre pense-bête doit être très simple, c’est l’esprit. Il est donc limité à un titre en 17 lettres et à un corps de message à 110 lettres. Vous pouvez en faire autant que vous voulez, mais n’en m’abusez pas. Chaque auteur ne peut voir que les pense-bêtes qu’il a envoyé ou qui lui sont destinés. La suppression d’un pense-bête est définitive.

Il est possible de changer la limitation de la taille du pense-bêtes et des nombres de caractères maximum du titre et du corps du pense-bête au travers de la configuration [5]. Il faut alors penser à vider le cache pour voir s’appliquer immédiatement l’effet.

Espace public

Des pense-bêtes sondages

Il est possible d’intégrer un modèle dans le pense-bête qui permet de l’utiliser pour poser une question et permettre l’envoi de la réponse par... un autre pense-bête [8]. Pour plus de facilité d’utilisation de cette possibilité, vous trouverez peut-être utile d’installer le plugin Insérer Modèle.

Origine de l’idée et remerciements

J’avais besoin d’un outil simple pour attirer l’attention de certains auteurs sur certaines tâches. Il fallait que la notification attire l’oeil du collaborateur mais qu’elle puisse aussitôt être écartée pour ne pas encombrer son espace de travail.

Le pense-bête était parfait pour cela. Un petit mot en couleur qui s’accroche sur un mur et se détache aussi facilement. Il en existe un dans la messagerie interne mais il ne permet pas de poser un pense-bête sur le mur d’un auteur, mais juste pour soi.

La rencontre de la contribution de Chris Heilmann pour son exemple de post-it en CSS3 and HTML5 était inspirante. Il a fallu prendre un contenant différent de la balise a qui a été tout simplement div.

Il fallait aussi une facilité d’échange, et là l’inspiration est venue du plugin pédagogique bisous de RastaPopoulos, qu’il a fallu adapter : on ne s’envoie pas des bisous mais on se dépose des pense-bêtes.

N’hésitez pas à contribuer à son amélioration.